Les trois premiers titres font l’effet d’une bonne grosse
baffe. Du bon gros rock punchy tirant pas mal sur le punk, des lyrics simples
et efficaces. C’est jubilatoire, la voix sèche d’Aja Volkman s’accorde
merveilleusement avec le rythme imposé. Lorsque le triptyque Burn Burn/Million
Years/So So Fresh se referme on piaffe d’impatience en se demandant
quelle bombe va suivre.
Second effet kiss cool, le reste de ce premier album studio hésite entre ballades plutôt posées et rock lancinant. Déconcertant au premier abord, cette nouvelle direction fait son effet, comme un road trip qui aurait démarré sur les chapeaux de roues avant de trouver son rythme.
Et puis arrive Beast, le dernier morceau de l’album, on ne peut s’empêcher de penser à AC/DC que ce soit au niveau du chant, des back vocals ou bien du rythme bien lourd imposé par la batterie.
Excellente conclusion d’un album complet et bien foutu, allez hop on écoute Million Years et son clip façon South Park à Salem:
Second effet kiss cool, le reste de ce premier album studio hésite entre ballades plutôt posées et rock lancinant. Déconcertant au premier abord, cette nouvelle direction fait son effet, comme un road trip qui aurait démarré sur les chapeaux de roues avant de trouver son rythme.
Et puis arrive Beast, le dernier morceau de l’album, on ne peut s’empêcher de penser à AC/DC que ce soit au niveau du chant, des back vocals ou bien du rythme bien lourd imposé par la batterie.
Excellente conclusion d’un album complet et bien foutu, allez hop on écoute Million Years et son clip façon South Park à Salem:
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